LA CUPIDITÉ ET L’EGOÏSME DES PARENTS: UNE ÉTUDE DE LES ESPOIRS PERDUS D’UNIMNA ANGREY

Authors

  • UTAH DAVID NDUKA ALLIANCE FRANCAISE OWERRI/ IMO STATE UNIVEAITY, OWERRI
  • CHUKWUNONSO HYACINTH MUOTOO NNAMDI AZIKIWE UNIVERSITY, AWKA

Abstract

La richesse est la synonymie du respect dans la société moderne où la plupart des gens adorent les riches et négligent les pauvres. Nous vivons une société où tout est monétarisé et pour être compté parmi les noblesses dans la classe sociale, on est obligé d’être très riche. Les parents qui viennent de la classe moyenne veulent que leurs filles se marient aux riches pour combler la lacune qui existe entre les deux classes (les pauvres et les riches). Dans la tentative de réaliser ce but, les parents forcent leurs filles à se marier aux gens qu’elles n’aiment pas. Ces parents ne regardent ni l’amour
ni le bonheur de leurs filles ou fils, mais ils sont poussés par de gros bénéfices attachés au mariage. Les filles sont souvent les victimes car certains parents ferment les yeux sur les prétendants qui n’ont pas assez d’argent même si leurs filles les aiment. D’après notre recherche, cette situation précaire est causée par deux virus : la cupidité et l’égoïsme. Ces deux virus sont à la racine des problèmes que nous voyons à la maison, et s’ils ne sont pas contrôlés, ils vont infecter tout le système matrimonial entier. Nous avons étudié comment Angrey, Unimna, un dramaturge et professeur du
français au Nigéria a exposé ces maux dans sa pièce théâtrale Les espoirs perdus (2005). Pour résoudre ce chagrin conjugal, nous avons postulé que la joie, le bonheur et la paix se trouvent dans le contentement. Il faut se contenter avec le peu qu’on ait au lieu de se mêler dans le crime et le délit
parce que l’argent ne fait pas toujours le bonheur. 

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Published

2020-03-18

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