LA CRITIQUE DE LA VIOLENCE DANS C’EST LE SOLEIL QUI M’A BRÛLÉE ET TU T’APPELLERAS TANGA DE CALIXTHE BEYALA

Authors

  • CHUKWUNONSO HYACINTH MUOTOO DEPARTMENT OF MODERN EUROPEAN LANGUAGES NNAMDI AZIKIWE UNIVERSITY, AWKA

Abstract

Calixthe Béyala, critique la société camerounaise en particulier et du monde en général. Elle considère la littérature comme un instrument pour lutter contre la violence et la subjugation des femmes africaines et d’autres pratiques intolérables contre le sexe féminin. Maltraitées dans quelques sociétés toujours soutenues par quelques religions et cultures, les femmes souffrent de l’oppression et leur souffrance parfois les mène à la mort. Ainsi, pour
revendiquer leurs droits humains d’une société chauviniste, les écrivaines féministes comme Simone de Beauvoir, Alice Walker, Hélène Cixous, Nafissatou Diallo, Aminata Sow Fall, Calixthe Béyala, Mariama Bâ etc, à travers leurs ouvrages, ont condamné l’oppression des femmes par les hommes. Cette étude cherche à critiquer la violence dans ces romans, C’est le soleil qui m’a brûlée et Tu t’appelleras Tanga. Le cadre théorique de ce travail est le womanisme. Le womanisme est donc un néologisme inventé par Alice Walker pour se dissocier du féminisme de l’occident qui met l’accent sur l’individualisme. 

Downloads

Published

2020-03-05

Issue

Section

Articles